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DU COQ À L'ÂNE
16 juillet 2007

Précision sur telle et telle chose

Pour la soupe de tomates, je fais fondre d'abord le bouillon cube dans un peu d'eau bouillante : une quantité juste pour faire fondre le bouillon cube. Puis ajouter la boîte de tomates et chauffer. On écrase les tomates, et à la fin, de préférence, ajoute du lait ou de la crème. Si l'on ajoute peu de liquide, cela devient une soupe épaisse : délicieuse, mais plut favorable pour l'hiver, à mon avis. Si l'on ajoute beaucoup de liquide, cela devient une soupe légère, qui convient bien en été, surtout la soupe fraîche (pour ça, il faut faire une grande quantité de soupe et la laisser dans le frigo pour le prochain repas). On peut même ajouter un peu de jus de citron à la fin pour la fraîcheur !

...

A propos du sujet "Psy", je me suis méprise sur ton intention.

Pour la similarité entre ma mère et moi, oui, malheureusement j'ai trouvé plusieurs points communs entre nous, notamment sur le manque de tolérance lors d'une colère extrême. C'est un grand obstacle pour que la conversation soit riche et fructueuse. Même si j'ai encore cette mauvaise tendance (par rapport à toi), je peux dire que je me suis considérablement améliorée sur ce point. Toutes mes amères expériences m'ont appris ça. Et je continuerai à m'améliorer.

Pour le rapport entre notre relation et celle entre moi et mon père, je suis moins convaicue. C'est vrai que, comme toi et comme tous les enfants, quand j'étais petite, j'étais du parti de ma mère lors des querelles du couple, et que le premier conflit épouvantable entre mes parents m'a gravement blessée. Mais par la suite, pendant les années où j'ai complètement ignoré mon père, en faisant ça, j'étais moi-même bien consciente de l'absurdité de mon comportement. Ce que mon père avait fait me semblait de plus en plus "normal sinon inévitable dans une telle situation", et de moins en moins primordial. Je ne pense pas garder un regard idéalisé sur le fonctionnement du couple, sur une sorte de trahison de l'homme contre la femme dans tous les sens, et sur la punition contre ces trahisons. Est-ce ça ce que tu voulais dire à propos de la métaphore de mes colères contre toi par rapport à celles contre mon père ?

Et pourtant, c'est vrai aussi que j'ai un principe idéaliste pour la protection interne au couple : L'homme et la femme en couple se protègent contre l'ennemi(e) commun ou de l'un des deux.

Une anecdote : Juste avant que j'aie commencé à fréquenter mon premier petit ami, il semble que mes camarades ont beaucoup parlé de mes sentiments particuliers envers lui. Cela semblait assez apparent. Certains disait à mon futur petit ami, "Ah, c'est super ! C'est une fille super sympa !", et d'autres disaient, "Ah, non, c'est une fille peu attirante. Laisse-la tomber !" avec des expressions méprisantes comme les jeunes machos. Mon futur petit ami, qui était déjà plus ou moins amoureux de moi et qui avait l'intention de me fréquenter, ne sortait plus avec les camarades du deuxième groupe, car il n'aimait pas fréquenter les gens qui n'apprécient pas sa copine. Sinon, il aimait fréquenter les deux groupes de gens avant de commencer à sortir avec moi. Il me l'a raconté beaucoup plus tard, à l'occasion. Et j'ai senti sa volonté de "protection" spontanée en ma faveur. C'est vrai que j'ai besoin de la volonté de protection reciproque dans un couple, de manière fondamentale. Le plus explicitement, contre l'ennemi de toute sorte.

A ce propos, c'est vrai qu'il y a une similarité entre le rancoeur que j'avais contre toi et celle que j'avais contre mon père. Mais même si le sentiment de rancoeur est similaire, on ne peut pas dire que ce soit une expression du traumatisme que mon père m'a laissé, étant donné que cette rancoeur est une réaction assez universelle et pas particulière à moi... je ne sais pas.

En tout cas, je te tire mon chapeau pour ta reflexion profonde psychologique. Je n'arrive pas à conclure.

Je reconnais de plus en plus de justesse dans ta parole, notamment ence qui concerne la partie de " tu te serais appuyée sur cette nouvelle injustice pour revivre la blessure antérieure. ce qui expliquerait qu'il n'y avait pas de fin au conflit. Si on s'explique sur ce conflit, on peut y mettre fin par la logique et le pardon. Mais s'il y a une résonance symbolique cachée avec une situation ancienne non résolue, cela contrarie aussi la résolution du conflit présent.".

Je vais continuer à y réfléchir...

...

Oups, on vient de ressentir un nouveau un tremblement de terre, juste maintenant !!

Cela fait déjà le 50ème ou 60ème aujourd'hui. Et la surface du séisme s'étale largement sur le Japon. Certains estiment que cette serie de tremblements durera pendant une semaine. J'ai peur !!!

Si jamais je mourais, tu me fais ta femme légale ? si c'est possible ?

...

Demain je vais travailler dans le cabinet de mon oncle, si le tremblement de terre n'a pas encore tout cassé...

Bonne nuit,

Bises !

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