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DU COQ À L'ÂNE

2 décembre 2008

Perso

((Hana)) quant à nos vies respectives ; je tiens encore le sentiment pour toi. Je ne sais pas s'il vaut mieux d'avancer au fond, ou de retirer et prendre le fait avec légèreté. Apparemment, il semble (ou tu essaies qu'il semble) que tu préfères le deuxième. Là, j'ai atteint à la même conclusion. Car si je vis une vie de couple avec toi, je serai toujours frustrée et déprimée entre mon entourage. Je préfère être toujours quelqu'un qui t'aime, qui t'apprécie, et qui te remercie. Avec une distance de chers amis, et seulement dans cette condition, je serrai aimable pour toi. nez ? ((Pierotic)) attends ma réponse ! ça devient sérieux, là ! je vais finir de manger d'abord ! ((Hana)) NON ! ce n'est pas sérieux ! on n'aime pas ça, nez ! ((Pierotic)) Oui, c'est vrai ! Voilà donc la situation comique : je reste d'accord pour la solution 2, mais ça ne marche pas vraiment ! Je constate que je suis toujours amoureux de toi, que je n'ai pas le goût d'acheter des nouvelles chaussettes ou culottes sans ton avis, que je regarde toujours le téléphone en carton ou les petites icônes créatives de mes fichiers avec émotion, que je suis content qu'on me demande encore des nouvelles de toi (et fier de répondre). (Comme tu aimes la franchise totale, j'ajoute que j'ai aussi malheureusement gardé certaines peurs de toi ; je sais que tu n'aimes pas ça, mais c'est la vérité). Quant à la recette n°1, je sais qu'elle est impossible par rapport à ta famille. Donc la n°2 reste le moins mauvais choix, même si la frustration est grande ! Et je ne sais pas du tout si le père Noël répondra à ma lettre ! > des achats quotidiens, illustrations sans importance, cuisine, ménage, sourire, rire, pleurer, et se rigoler. tout ce qu'on a vécu, on l'a vécu avec amour, sans se rendre compte. On dirait qu'il vaut mieux de vivre avec quelqu'un que tu aimes deuxièmement, plutôt qu'avec le (la) premier(e). Que le père Noël nous fournisse ce (cette) deuxième, que nous ne savons pas si nous le attendons.
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20 octobre 2008

Message personnel

Pierotic, oh là là, tu vois l'historique de ce blog ? Aucun de nous n'a fait commentaire depuis quasi quatre mois, alors que, au début de mon départ du 28 juin 2007, nous avons fait chacun plusieurs longs commentaires. Je te confie ici tout discrètement que je t'ai tellement aimé, et je t'aime encore misérablement aujourd'hui, où j'ai bien compris que ce n'ai vraiment pas possible de partager ma vie avec toi. Ce n'ai pas à cause de d'autres raisons, mais c'est juste parce que je ne suis pas suffisamment forte pour explorer ma vie contre contraintes. Je me sens si faible et inapte. Ces derniers jours, je me demande si tu n'as pas déjà eu une copine. Une véritable petite copine. Crois-moi, si c'est le cas, ce serait vraiment mon plaisir. N'hésite pas, et notamment ne t'en fais souffrir pas, je n'en serais vraiment pas triste. Ce que je crains, ce sont des nuits et jours où tu passes en larmes. Avec mon fantôme. Si tu as trouvé un autre plaisir remplassable, je serais rassurée. Je n'ai personne aujourd'hui. Je sais que je suis plus forte que toi en mentalité, (oh mon artiste sensible !!...), et je préfère que ce soit toi qui trouves quelqu'un d'abord. Comme on s'est dit, encore une fois, "Quel que soit l'avenir qui nous attend respectivement, je n'oublierai pas que tu m'as aimée". Tu sais, pour moi, c'est suffisant.
26 juin 2008

Un an déjà !...

http://carte10.dromadaire.com/card/0626/173040WKo-6939476h28r237j90.shtml Merci pour cette merveilleuse carte de notre anniversaire en "rose" !... (lu avec beaucoup d'émotion)
9 juin 2008

Fête de Yosakoï

P1060783Le week-end dernier, je suis allée à Hokkaïdo, qui se trouve au nord du Japon pour assister à un congrès "La santé et la sexualité des femmes modernes". La veille, je me suis fait connaître aux participants principaux de ce congrès, les femmes gynécologues en principe, et je ne suis finalement pas allée au congrès, étant donné qu'on peut tout savoir par Internet ce qui se passe. P1060776Bref, par chance, c'était justement ce week end où la fameuse fête "Yosakoï Soran" avait lieu à la ville où j'étais. J'ai donc vu cette fête qui a fini par me plaire énormément. C'est une des plus grandes fêtes populaires au Japon. Les participants se réunissent à Hokkaïdo pour danser à la musique de Yosakoï, mais avec un arrangement libre. P1060777 P1060750 P1060755 P1060756 P1060759 P1060796 P1060766 P1060770 P1060798
1 juin 2008

Mes amis verts

P1060742 Voici mon ami depuis le début de ma nouvelle époque à mon propre appartement. Il s'appelle Ficus Altissima P1060743 P1060733 P1060736
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23 mai 2008

Fête de Tango

IMG A droite, Yuriko, une amie à moi, qui est fleuriste, et qui aime la fête. Au milieu, Aya Sugimoto, une actrice célèbre notamment pour sa faculté professionnelle en Tango. Elle a 40 ans aujourd'hui. IMG_0001 Au milieu, c'est le professeur de Tango qui a enseigné à l'actrice.
8 mai 2008

5h du mat

A force de penser à toi, je me suis réveillée à 5h du mat ce matin (!), et je pensais, bien entendu, à toi. C'est dur de se dire que l'on est plus petits amis, même si l'amour réciproque est constaté, marqué profondément dans le coeur de chacun, même si l'on promet de se revoir prochainement en tant qu'amis, même si l'on promet de devenir à nouveau petits amis dans 20 à 30 ans. Je ne me sens pas sécurisée... J'ai BEAUCOUP besoin de ton amour affirmé sans se cacher pour survivre sur la Terre... Envie de t'entendre m'a prise, et je t'ai téléphoné par skype est même par téléphone fixe, mais évidemment tu n'es pas là... zut alors...
8 mai 2008

Bouillon cube

A mon nouveau appartement, je me suis acheté des bouillon cube, et naturellement, je pensais à notre vie au Paradis. Je mets très peu de chose sur le bureau chez moi, mais il y a la carte postale que l'on a acheté en Alsace : celui du dessin de Ratkoff. Voilà, les petits objets discrets qui me fait "du bien".
8 mai 2008

Le lendemain par Skype

H : je vois ! tu as lu mon message ? P : oui ! H : ça va ?... P : je fais le ménage ; ça m'occupe l'esprit H : tu es triste de ce que je t'ai raconté ? P : tu écris merveilleusement ! H : ça veut dire ? ça ne t'a pas attristé au moins ? P : je ... n'arrive pas m'exprimer ! allez ! il fait beau et la vie est belle ! H : content d'être né sur la Terre, hein ?! P : oui et de connaître une merveilleuse femme H : de même de t'avoir connu, un merveilleux homme du siècle ! P : tu me manqueras toujours H : on se reverra ! P : on ne sait pas H : on ne sait jamais. mais on sait que l'on aime l'autre, quoi qu'il arrive, comme on s'est dit lors de mon départ. P : oui H : on peut toujours faire des choses, faire des projets, ... sauf faire des enfants. Et ce n'est pas grave, je trouve... n'est-ce pas ? P : oui, en fait, je pense souvent à nos enfants qu'on n'aura pas H : tu les aurais aimés ? P : j'y ai terriblement pensé quand j'ai vu le petit Rento (même avec un grand nez : pas grave) H : l'enfant est, d'un côté, l'incarnation de l'amour. Mais mon amour pour toi, et le tien aussi, sont profondément constatés, même sans enfant P : c'était donc toi le grand amour de ma vie !!! H : tu serais triste, ou pas content si l'on ne se voit pas en tant que petits amis, même si tu connais mon amour profond pour toi ? P : tu veux dire si on se rencontre un jour ? H : oui. P : mais je suis quelqu'un de très poli et très réservé qui cache bien ses sentiments, qu'est-ce que vous croyez ! H : mais franchement... P : j'aurai des lunettes noires et je ferai tous mes efforts H : tu penserais que je ne t'aime plus, si je fais des enfants avec un autre ? P : n'aie pas peur, je connais ton amour profond incroyable H : un amour caché ne te suffit pas ? P : je vais survivre ! H : normalement ! tu devrais être archi happy, sans condition, quand tu aimes quelqu'un ! P : mais il faut que de ton côté tu sois très heureuse H : je suis comme toi, mais je suis déjà très heureuse et contente d'aimer et d'être aimé comme nous le sommes chacun. P : qu'est-ce qu'on fait à manger ? j'ai l'idée de pâtes H : pas d'appétit ici, mais c'est à cocher P : mais avec de la crème ! H : si l'on mange, c'est fait, c'est coché, quoi !! P : ah ! H : si tu ris, ça me fait du bien ! P : j'aime ton humour ! (en fait j'aime tout de toi) H : y compris la jalousie ? ...qui n'existait d'ailleurs jamais ! P : qui n'existait jamais, bien sûr H : quant à moi, je ne me sens pas seule, parce que je crois à notre amour. Mais quand je pense à toi, je crains que tu sois seul et triste parce que je ne suis pas là physiquement... espérant que ce n'est pas le cas... parce que tu es moins fort que moi, à mon avis, peut-être ?.... P : pas du tout ! mais j'avais une poussière dans l'oeil ce matin H : poussière de deux mètres carrés ? P : c'est le grand ménage ! j'ai même trouvé ça H : mais !!! tu as jeté mon affiche derrière toi au bureau.... P : oui ! j'ai commencé hier soir à cacher ce qui me faisait mal... mais ça ne marche pas ! c'est enfantin ! H : ça te faisait mal ? parce que c'était écrit "viens à tokyo" ? P : même un bouillon Kub me touche !... non : viens à Paris ! H : ah ? j'ai cru avoir modifié la phrase avant de partir du Paradis P : eh non ! incroyable hein ! H : ce n'était pas encore coché, alors. Bon, finalement, tu as bien joué, parce que "viens à Paris" n'est plus d'actualité ! ... mais tu l'as jeté à la poubelle ? P : non ! H : garde bien les souvenirs ! ça te soutiendra après que la tristesse sera passée ! P : quand même, j'aimerais bien aller un jour à Tokyo H : bien sûr ! P : je ne pourrai sans doute pas te voir, mais j'aimerais quand même H : pourquoi tu ne me verras pas ? P : c'est toi qui m'as fait connaître ce pays exotique, ne ... parce que ta soeur et tes parents m'auront tué avant ! H : non, toshiko ne te tuera pas. P : je vais continuer à apprendre le japonais (au moins jusqu'à la leçon 40) H : quant à mes parents, ma mère m'a commandé de mourir (de me tuer) plutôt que de t'aimer. Elle m'a passé tant de sommnifères.... et c'est Toshiko qui m'a protégée P : je ne te ferai jamais courir ce risque. Tu dois vivre superbement parce que tu es un être magnifique H : c'est une vielle histoire. Ils sont malades. Je ne sais comment ils réagiraient si jamais ils savent que je te revois, ... il y a tant de raisons stupides et incompréhensible pour tuer des gens. A l'époque, je préférais mourir plutôt que jurer de ne plus t'aimer. Parce que je n'aime pas mentir. Mais maintenant, je ne sens pas la nécessité d'être honnête vis à vis de mes parents archaïques P : soyons raisonnables, même si c'est dur. il y a trop d'adversité. Et j'ai vraiment besoin de te savoir heureuse dans cette vie H : de même, chéri. Tu dois être heureux pour moi. P : je suis très content de tout ce que tu as déjà fait avec ta soeur en déménageant et en vous installant bien allez ! je vais cocher les pâtes ! H : et, as-tu envie de te lancer sous le soleil exactement ? P : oui ! .... je dois justement aller à Carrefour ! H : à vélo ? P : masashiku H : mais tu n'étais pas sûr... P : si !! H : le marriage et des enfants, ce n'est pas la seule façon d'aimer. Nous pouvons inventer notre propre façon d'aimer, comme on a déjà un peu commencé P : oui c'est ce qu'on fait. Comme d'habitude on pense la même chose en même temps ! H : je ne regrette rien ! P : c'est vrai que tu es très forte, je reconnais H : la femme est faite plus forte pour supporter la douleur, dirait-on ! P : j'aime les pâtes, mais je t'aime encore plus H : et puis, je me suis beaaaaucoup entraînée contre la douleur au Paradis, aussi P : (beaucoup plus, même) H : mais j'étais super heureuse chez toi... enfin, chez nous, si tu me permets P : oui, je pense toujours "chez nous" ! H : parce que je suis masochiste ! tu n'as pas encore effacé mon nom sur iPorte ? P : si ! H : tu l'as effacé ? P : oui ! H : quand ? P : mais je dois mettre une autre couche. On voit toujours ... et je me demande s'il n'y a pas encore ton nom sur la boîte à lettres ? H : quand tu l'as effacé ? P : il y a plusieurs semaines. J'ai effacé tous les noms d'un coup (sauf le mien). Je me suis même demandé en même temps si je ne devais pas peindre la porte à nouveau (à cause des voleurs). Je suis sans arrêt en train de fermer à clé, même la journée (parano !) H : tu as effacé les noms sur la porte à cause des voleurs ? P : non, les voleurs sont intéressés par mon iPod, pas par les personnes ! H : pourquoi tu as effacé mon nom ?... juste comme ça ?... ou pour une raison plus précise ?... P : par petit désespoir... H : par quel événement ? P : il faut aussi que je range tes vêtements accrochés au mur de notre chambre, tu ne crois pas ? H : comme tu le sens... P : ça me rend sans arrêt nostalgique H : petit désespoir par quel événement ? dis moi... P : quand je regarde, évidemment, je revis le passé H : quand tu regardes mon nom sur la porte, mes vêtements dans la chambre, mes affiches sur les murs, ça te met dans un état négatif ? et tu as besoin de tourner la page et d'avancer ? P : j'ai l'impression de rester fixé sur le passé H : c'est mauvais ? P : chaque signe m'attriste H : ah ?... ce n'est pas bien si ça t'attriste ! P : comme ce petit mini (précieux) dessin que je t'ai montré H : dans ce cas là, contact émail, skype, aussi, ça te bloque pour avancer ? P : c'est différent, puisque c'est le présent vivant, la vie quoi, la vie qui continue H : l'attitude face aux souvenirs n'est pas la même chez chacun. Fais comme tu sens. Je sais que c'est égoïste, mais je suis... choquée que je ne sois plus sur l'iPorte P : alors j'écris à nouveau ! H : fais comme tu sens. Si tu te sens plus à l'aise, et si ça te rend plus heureux, ça m'est mieux aussi. C'est la seule chose que je souhaite : que toi, un artiste sensible, réussisse à bien tourner la page et à avancer vers le mieux ! P : tu me permets de manger les pâtes H : allons à la cuisine ! alors ? tu as remis mon nom sur la porte ? (= signe d'affection) P : quoi !! pas encore !!! Attends un peu ! je suis en train de travailler sur l'expo ADC (encore 2 mails et j'arrête). Je m'y mets juste après ! Hanarceleuse ! H : ce n'est pas vrai, cette appellation... P : maiiiiiiiiiiiiis non ! H : bon. C'est juste pour te dire bonne nuit. On est réconciliés ? P : oyasumi ! eh ! on n'était pas fâchés ! Pas du tout ! H : mais tu t'es débarrassé de mon affiche mignonne... P : il se pourrait que je la remette en changeant le nom de la ville (j'y ai pensé !) H : ahhh !!!! P : mais chutt c'est une surprise ! ne pas répéter ! Je compte sur votre discrétion H : je n'entends rien P : moi non plus H : viens à Tokyo ! P : eh ben eh ben ! on a dit il y a trois secondes que personne ne le répète ! H : oups. Faute de clavier P : tous pourris ces claviers ! Mais n'oublie pas que tu as un gros travail : un petit ami à trouver ! H : oui, mais, on reste amoureux, hein ? C'est promis ? P : n'attends pas la ménopause ! je crains qu'on le reste en effet ! H : meno.... !!! c'est indiscret pour une fille !!! P : euh ! je veux dire n'attends pas tes 60 ans H : non, parce qu'à 60 ans, je suis à nouveau avec toi ! P : ah ben oui, c'est vrai ! H : à condition que tu sois encore capable de faire du vélo à cette époque ! P : mais j'aurai 93 ans ! pas de problème... avec les 2 petites roues en plus pour tenir en équilibre ! H : tu auras encore 10 ans de vie P : euh j'avais prévu jusqu'à 96 seulement ! H : mais au Japon, il y a une femme qui a 103 ans P : c'est une femme ! la testostérone réduit la longueur de la vie ! H : même jusqu'à 96 ans, tu auras à peu près 2 ans et demie de vie, ce qui est archi suffisant pour épanouir l'amour. C'est constaté par Pierotic & Hanamour P : 15 points ! mais il faut que je me masturbe beaucoup d'ici là pour ne pas attraper de cancer de la prostate ! seuls les hommes qui font l'amour plusieurs fois par semaine ne craignent rien ! H : oh ! là je te rejoins à partir de 92 ans ! En attendant, tu peux trouver une copine aussi. Mais promets de la quitter à 92 ans ! P : une seule pendant 30 ans ? Il vaudrait mieux beaucoup et pas longtemps ! Une chaque été, quittée à l'automne ! H : ah ! c'est vrai pour toi ! De plus, tu as toujours MOI dans ton coeur ! P : masashicul H : de même ! P : dors bien ! H : j'ai hâte d'avoir 60 ans ! H : mais on se retrouvera sans doute prochainement ! P : par Skype ! H : non ! quelque part sur la Terre, sur place ! P : c'est un grand souhait ! (peut-être à Victoria : j'y réfléchirai sur place) H : oui, tu me feras un rapport après ta première visite ! P : hai
8 mai 2008

Une bise sincère

Bonjour mon amour, Voilà une nouvelle journée. Je me suis réveillée à 6h du mat, et je pensais fort à toi. Mais ce n'est pas bien, de penser trop à toi. C'est ce qui me fait pleurer facilement, en serrant la gorge, n'importe quel moment, en courant, en marchant, dans train... Tu es pour moi mon cher petit ami, mon maître, mon père, et mon fils. Tu es un peu tout pour moi. Même si un jour tu ne sera plus mon petit ami, comment je pourrais oublier toutes ces affections pour toi ? Comment je pourrais vivre sans toi ? Alors qu'il me reste toutes les traces que tu m'as laissées, les réjouissance corporelles dans tous les sens, les souvenirs chers mais au même temps amers, d'avoir aimé et d'avoir été aimée autant ? Pour qui je pourrais souhaiter autant de bonheur comme pour toi ? C'est uniquement avec toi que je pleure de bonheur d'être à côté. On a accumulé tant souvenir jusqu'aujourd'hui, et ça continuera. Personne ne pourra le bloquer. Même si je ne pourrai plus jamais parler de toi à ma famille, je n'ai pas de regret ni de la honte pour tout ce qui s'est passé et tout ce qui se passe entre nous. Je garderais tous les souvenirs passés et futures jusqu'à la fin de ma vie. Je ne savais pas que tu as un projet de venir au Japon cet automne. Je ne sais comment ça s'arrange, faut voir. Pourquoi pas ? Pourquoi faut renoncer ?? Ne pleures pas mon amour, je suis là. Je te quitte pas. Une famille et des enfants, ça se fait avec moindre affection, s'il y a des respects pour l'autre. Mon sentiment et mon émotion pour toi est plus que ça. Comme tu sais. Comme ça, on peut marcher ensemble, on peut vivre ensemble, jusqu'à la fin de la vie. Donc ne pleure pas. Je ne pleurerai plus non plus. Quant à notre vie conjugale, je me rends compte de plus en plus que ce n'est pas réalisable. Tu ne souhaiterais pas du fond coeur tes nouveaux enfants avec moi. Je ne veux pas avoir des enfants que tu ne veux pas. Il faut que j'arrête de pleurer, puisque je dois partir au travail. Ce soir, Toshiko a une soirée ailleurs. On parlera de vive voix. D'accord ? Ne pleures pas mon amour. Si tu pleures, je me sens extrêmement faible. Restons fort, et sûr de l'amour de l'autre. Bises, avec les sentiments les plus distingués, vraiment. Ta Hanamour
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DU COQ À L'ÂNE
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