Réflexion sur le sens de vie en couple

J'ai fait un rêve, de manier très réele, de la séparation. Pierre et moi, on est en train à l'aéroport pour que je prenne l'avion à Tokyo, et Pierre m'accopagne jusqu'à l'aéroport. Au fur et à mesure que le train s'approche à l'aéroport, je devenais émue, et commença à pleurer à la fin. Je lui demanda si l'on ne peurrait vraiment pas aller plus loin. Pierre réponda non, et me fit prendre l'avion. À Tokyo, je fus chez mes parents. À la première nuit, je n'arrive pas à dormir. Je trouve un revue français (=bizzare, étant donné à Tokyo), dont l'article spécial est "Pourquoi on s'est séparé ?". Je commença à lire le premier témoignage. "On commença sortir ensemble depuis cinq ans, à l'âge de 27 ans. Notre rapport était idéal, mais au bout de cinq ans..." Je m'y concentra, et du coup, je me suis réveillée. C'était la fin de mon rêvede première partie, mais ce n'était pas tout. J'avais du mal à me faire lever, car je ne me sentais pas bien à cause de ce rêve trop réaliste. j'en suis même étonnée. J'ai resté dans le lit, et probablement dans peu de temps, je recommença à dormi. J'ai fait un autre rêve, toujours au thème de séparation. C'était la suite du rêve précédant, une histoire à Tokyo, après que j'ai quitté la France. À Tokyo, j'ai un peu d'envie de contacter Pierre. Mais cet envie n'est pas irrésistible. Le raisonnement que je dois et veux commencer ma vie de jeune famme est plus fort. Mais d'autre côté, je me demande pourquoi pas un petit mail ? Ce ne serait pas trop déstabilisant... Finalement je ne le fais pas, car je trouve que n'import quel contact est une mauvaise signe de ma nouvelle vie. Mais au fond, j'ai envie de rester en contact avec Pierre, au moins de savoir ce qu'il est devenu. J'ai décidé d'envoyer une carte postale à Bernadette, en espérant qu'elle me répond avec une petite nouvelle de Pierre. Je cherche une carte postale dont le dessin est celui des chats... et je me suis réveillée ici. Ceci était la fin de cette serie de rêves. Ah, comme c'était réel ! Ce serait probablement comme ça, le début de mon nouveau départ au Japon. Certe, un peu de souffrence est obligatoire au départ. Mais tout de même je parviendrai à me convaincre que ça vaut mieux à m'avancer sur le chemin de ma propre vie. Je trouverai une vie ordinaire, paisible, peut-être conjugale, et me mélerai dedans. Je m'y consacrerai surtout si j'ai des enfants, sans trop penser au sens de vie. Un jour j'oublierai ce que était cet amour. J'oublierai comment j'ai aimé Pierre, comment j'en ai souffert, et toutefois à quel niveau j'étais heureuse. Les blessures se fermeront avec le temps. Le désir et le soif se calmeront dans l'oubli. Tous ces faits douloureusement vivants aujourd'hui ne seront dans le future que des souvenirs de jeunesse, et un jour je finirai ma vie de 90 ans en paix. Dans le langage du couple, la paix est un anonyme de passion, synonyme de compromis. “L'homme de sa vie” n'est qu'une théorie de conséquence. On ne peut le sait qu'à la fin de sa vie. Je ne compterai pas sur ce mot de fantasme, mais du fait, comme j'aurais aimé marcher ma petite vie avec cet homme !