Évolution piérotique

Après un coup de typhoon du 31 décembre 2006, une certaine partie de mon cœur est bouleversé. J'ai l'impression globale que, ce jour-là, je me suis réveillée d'un long rêve où je me suis mise une femme de sa vie, tant que lui, en tant que l'homme de ma vie. Certe, j'ai conclu une châpitre. Depuis ce jour-là, je me disais parfois que c'est la fin d'amour à lui. Je n'ai plus de sentiment chaleureux vers Pierre, je n'ai plus d'espoir ni d'envie pour notre future à deux. Je n'ai plus rien pour lui. Tant mieux, je ne l'aime plus... Néanmoins, toutes les fois que je pense au jour de séparation avec Pierre, au jour où je partirai définitivement du Paradis, larmes m'ont invahissaient promptement et entièrement. Incompatible si je ne l'aime plus. Pendant ces deux mois, en janvier et février 2007, nous l'avons passé sérainement ; entretemps on a quand même eu trois fois des conversations lourdes ; toujours moi qui défie. Mais pour ces trois fois on n'a pas tombé dans une ambiance minable comme c'était avant, à une grande partie grâce à Pierre. Grâce à sa maintien de sang froid, à sa patience, et à sa tolérance, d'avoir supporté mon attaque harcelant et de m'avoir répondu sincèrement. Certainement je l'ai attaqué beaoucoup moins fréquamment et beaucoup moins hystériquement qu'avant, étant donné mon changement de température de mon côté et que j'en ai quand même un peu pris de la graine de ce qui m'est arrivé. ... Cela appartiendrait à la baisse d'exigence qui résulte de la baisse d'espoir pour notre future. Je suis devenue aquoibonniste. Pourtant parfois je ne pouvais pas cesser de me touturer par les mots qui me trottent par la tête. Et en sconséquance, j'ai intérrogé Cela ne dit pas pour autant que ce sujet est devenu moins chiant pour Pierre. Plus que ça dure, plus que c'est dur. Pierre, je voudrais m'excuser auprès de toi pour ces trois cas. J'adomire discrètement toutes ses évolutions. Un homme tellement fier de lui, je n'ai pas cru qu'il est capable d'accepter d'idée qu'il avait fait des bêtises... Sûrement très humilifiant pour lui. Grâce à ces deux moi, j'arrive à croire qu'il nous est enfin possible de converser, d'entendre, de se comprendre, comme j'ai souhaité. Ce qui m'était tellement fondamental et indisponsable. Il ne faut pas être exigeante, mais il y a encore une chose dont je me préoccupe aujourd'hui ; c'est que Pierre ne se sente pas mal à l'aise, voire coupable, du fait d'avoir coupé le pont avec son ex-copine contairement à son souhait. Étant donné la longue période chaotique qu'on a vecu, il m'est claire que cette femme n'est pas capable de se détacher de Pierre, de devenir indépendante, et qu'elle demeure une femme "maintenue" par Pierre au niveau mental. Je précise ; Pierre lui est l'homme de sa vie. Elle ne trouvera pas de chaussure à son pied, "homme de son niveau" tel qu'on dit (autrement dit "homme de son attente", je crois que celle-ci est une expression plus gentile mais équivalent au fond), elle ne peut pas être contente d'un homme de son niveau étant donné avoir été "aimée" par un homme de plus haut niveau. Evidemment elle n'en est pas bienvenue... Sûrement elle sait aujourd'hui ne plus se situer dans son cœur le plus profond, et pourtant elle ne césse pas de chercher un endroit le plus près de son cœur. déroulement est tout à fait normal étant donné tout ce qui s'est passé pendant un an et demi, son insistance eternelle pour garder l'amitié et la fidélité de Pierre, sa soif de l'affection de la part de Pierre. Pour Pierre, ce serait difficile d'agir cqrrément en face d'elle, qui lui était toujours déférente et admiratrice, qui demande aujourd'hui misérablement sa moindre affection. Mais il est certain qu'elle ne pourra jamais cesser sa dépendance vers Pierre au niveau mentale, aussi longtemps que Pierre demeure une existence sacrée et admirable pour elle. Cette dépendance deviendra de plus en plus pénible au fur et à mesure des années passent. ( En ce qui me concerne, cela dépassé ma limite dès le premier moment... ) On a le droit de choisir des amis, soit près soit loin, tout par sa préférence, tant qu'on a la liberté de choix de la vie. On n'est pas obligé de garder l'amitié qu'on ne veut pas, avec qui l'on n'estime pas.